Aller au contenu
Accueil » Roman 4 : et si on disait OUI à nos ET SI… ?

Roman 4 : et si on disait OUI à nos ET SI… ?

Il y a des romans qu’on écrit, et d’autres… qui nous écrivent.

Ce que l’on oublie de vivre (roman 4) fait partie de ceux-là.

Quand j’ai commencé à imaginer Malorine, je pensais écrire l’histoire d’une femme au bord d’un virage. Je ne pensais pas encore qu’en filigrane, j’allais écrire aussi un peu de moi.

Parce que Malorine, c’est une femme de 45 ans qui pensait avoir tout coché : le mari, la maison, les enfants, le travail. Et pourtant, un matin, le silence s’est installé entre deux tasses de café, et elle s’est demandé si c’était bien ça sa vie.

Et ce matin-là, elle a appuyé sur pause.

Quand la vie se met sur pause

On croit que les grandes ruptures font du bruit. Mais le plus souvent, elles chuchotent.

Chez Malorine, la rupture s’est glissée dans les petites choses du quotidien. Les conversations qui s’écourtent, les rêves qu’on range, les rires qu’on reporte à demain. 

Il n’y a pas de drame, non. Juste une usure douce et tenace. Un mari qu’elle aime, mais qu’elle ne comprend plus. Des enfants qui grandissent sans vraiment la voir. Et ce sentiment de s’être effacée, sans savoir quand ni comment.

Je voulais écrire cette période-là qu’on évoque rarement. Pas la crise, pas la chute, mais l’entre-deux. Ce moment suspendu où l’on ne va ni mal ni bien. Où tout semble à sa place, sauf nous.

Parce que je crois qu’on est nombreuses à connaître cette fatigue du cœur. Celle qui ne se voit pas, mais qui pèse.

Et c’est là qu’une idée folle s’est imposée.

L’idée d’un casque… et de toutes les vies possibles

Un soir, j’ai eu cette idée un peu folle : et si on pouvait vivre toutes les vies qu’on n’a fait que rêver ? Pas seulement les fantasmer, mais les ressentir.

Et si la technologie nous permettait de plonger dans ces « Et si… ? » qu’on garde enfouis ?

De cette question est né Né*****(encore un peu de suspens), un casque capable de donner vie à toutes ces possibilités. Un objet à la frontière entre le rêve et la réalité.

Et c’est là que commence le voyage de Malorine. Un saut dans l’inconnu, une traversée de ses propres désirs, une série de rencontres bouleversantes avec elle-même.

Chaque expérience est un miroir.

Chaque version d’elle-même lui renvoie une part oubliée de son identité : la jeune femme insouciante, l’artiste qu’elle aurait pu devenir, la femme libre qu’elle rêve encore d’être.

Ce roman, c’est une lettre ouverte

En écrivant, j’ai pensé à toutes ces femmes que je croise – ou que j’ai été.

Celles qui font tout pour tout le monde. Celles qui jonglent en oubliant de respirer. Celles qui se sentent coupables de rêver autrement. Celles qui s’interdisent d’être malheureuses, parce que « tout va bien ». Celles qui se disent que c’est trop tard pour tout recommencer.

Je voulais leur dire que ce n’est pas grave de douter, leur rappeler qu’il y a encore du possible. Toujours.

Parce que la vie, ce n’est pas un contrat signé une fois pour toutes. C’est une succession de secondes chances déguisées en chaos.

Ce que l’on oublie de vivre, c’est un roman qui tend la main. Non pas pour donner des leçons, mais pour dire : « Tu n’es pas seule ».

Derrière les pages : mes propres « Et si… ? »

Je me souviens d’un soir où j’ai arrêté d’écrire. Trop d’émotions, trop de vérités.

Parce qu’en suivant Malorine, j’ai croisé mes propres bifurcations. Et si j’avais continué mes études ? Et si j’avais eu le courage de dire stop plus tôt ? Et si je n’étais pas aussi empathique et sensible ?

C’est ça, écrire, se mettre à nu sans même s’en rendre compte.

Et quand une lectrice m’écrit « Ton livre m’a fait pleurer parce que c’est vrai », je me dis que j’ai atteint l’essentiel : ce fil invisible qui relie deux cœurs.

Un roman sur la force des choix

À travers les aventures de Malorine, j’ai voulu explorer cette idée que chaque décision, même minuscule, peut redessiner le cours de notre vie. On imagine souvent que les virages de la vie se prennent dans le fracas. Mais non. Parfois, tout commence par un geste simple. Une phrase de trop. Un silence brisé.

Ce roman parle de ces moments-là. Les choix minuscules qui changent tout. Les respirations qu’on ose enfin reprendre.

Parce qu’il suffit d’une seule décision, même infime, pour tout changer.

Ce que vous y trouverez

➔ Des émotions à vif, tantôt tendres, tantôt brutes.

➔ Des personnages imparfaits, profondément humains.

➔ Et surtout, une histoire qui redonne envie d’y croire.

Je n’ai pas écrit ce roman pour donner des leçons ou consoler. Je l’ai écrit pour accompagner. Pour se sentir moins seule. Pour ouvrir un espace où l’on se dit « Et si… ? ». Et surtout, pour rappeler qu’il y a une beauté à se chercher encore, à quarante ans passés, à cinquante, à toujours.

Pourquoi j’y crois tant ?

Parce que j’ai vu, dans ma vie comme dans celles des autres, que les rêves ne meurent jamais vraiment. Ils se taisent, attendent, patient. Et puis un jour, quelqu’un ou quelque chose appuie sur Lecture.

Et tout recommence.

Si Ce que l’on oublie de vivre pouvait être ce petit déclic-là… celui qui vous souffle du courage, alors j’aurais tout gagné.

Le mot de la fin (ou du début)

J’ai hâte de vous présenter Malorine. Ses doutes, ses élans, ses failles. J’ai hâte que vous la suiviez dans ses mille vies et dans la seule qui compte vraiment : la vraie.

Et peut-être qu’en refermant ce roman de 400 pages, vous vous direz que la vôtre est, elle aussi, pleine de possibles.

Parce que Ce que l’on oublie de vivre parle de nous toutes – de nos regrets, de nos un jour peut-être, de nos petites victoires.

Et si, cette fois, vous disiez OUI à vos « Et si… » ?

👉 Ce que l’on oublie de vivre – Sortie prévue en 2026 (date à venir)

Et surtout… n’oubliez pas de vivre, un peu plus fort, chaque jour ! 🌷